Love of the love, les coups de <3 de la saison !

Arts du spectacle

Nouvelle édition

Max Milo

26,00

Dans cet ouvrage pratique, d'abord publié en Russie, puis en Angleterre, Declan Donnellan, un scalpel à la main, opère au cœur de l'acteur, y dénouant le jeu de ses entraves. Il s’y livre à une approche rafraîchissante et radicale, dans laquelle tout artiste de théâtre trouvera un pertinent témoignage.

« Ces nouveaux conseils aux comédiens coupent dans le vif de toutes les généralités sur le jeu pour en extraire des détails d'une nouveauté lumineuse. Grâce à une écriture légère et pleine d'esprit, Declan Donnellan mène subtilement les jeunes acteurs à prendre conscience des processus vivants qui se cachent derrière leur travail. Il fait preuve d'une pensée et d'une intuition profondes, fruits de l'expérience directe. »
Peter Brook


Nouvelle édition augmentée

Deuxieme Epoque

19,00

Comment se construit un récit burlesque au théâtre ? Comment pratiquer le jeu burlesque ? Comment est né ce genre comique
à la frontière di comique et du tragique ? L’ouvrage est une invitation au pays de l’absurdie. Norbert Aboudarham nous donne
les codes du burlesque au théâtre au travers de son expérience pédagogique menée depuis 20 ans. Cette édition est augmentée
d’un chapitre sur « l’être là » qui analyse les clefs de la présence de l’acteur liès au « jeu masqué sans masque ».


14,00

C’était d’abord un choix pratique : personne ne voulait produire leurs films. Alors Hayao Miyazaki et Isao Takahata, aidés de Toshio Suzuki, ont fondé ensemble le studio Ghibli. Depuis, ils ont enchaîné les succès, de Princesse Mononoké à Pompoko, du Tombeau des lucioles au Voyage de Chihiro. Leurs personnages, comme Totoro et Porco Rosso, sont devenus emblématiques, et les œuvres du studio ont marqué des générations entières de fans à travers le monde, comme si Ghibli était un équivalent japonais de Disney.

Bien plus qu’une marque et au-delà d’une simple usine à rêves, Ghibli offre avant tout une vision d’un monde idéal, fondé sur l’écologie, le féminisme, l’ingénierie et les croyances magiques. Un monde parfait selon Ghibli explore les histoires créées par le studio, les décortique, en les mettant en perspective avec la carrière de leurs créateurs, avec en toile de fond une question lancinante : Ghibli survivra-t-il à la retraite de ses fondateurs ?


Pourquoi encore un livre-de-masques ? L’essentiel sur le sujet est répété à l’envi dans toutes les préfaces de livres-de-masques : À savoir que le masque masque et démasque, que sa fonction est de cacher (le porteur religieux, comédien ou carnavaleux) et de révéler (le dieu, le personnage, la figure de fantaisie). On y ajoute parfois une autre fonction : la fascination voire la sidération du spectateur. Autre antienne : le masque est universel. Pour développer, illustrer, préciser ces idées, il existe des centaines de livres, catalogues, études sur les masques (Loi du marché rentable des salles de ventes oblige). Mais lesquels ? Les masques africains (depuis le cubisme), océaniens et amérindiens (depuis le surréalisme), himalayens depuis peu, ...on peut ainsi compter plus de 27 publications disponibles sur les masques dogons et 51 sur les masques tibétains. La moindre tradition y est recensée, décrite, expliquée, prête à vendre. Il y a moins d’intérêt (pour le moment, mais cela commence) pour les traditions européennes, les splendeurs de Roumanie ou de l’arc alpin. Pourquoi cette tache aveugle ? C’est à celle-ci que ce livre veut répondre.


24,00

Dominique Bruguière est une figure majeure de la création théâtrale. Une figure de l’ombre car son métier d’éclairagiste est méconnu du grand public, mais ses longs compagnonnages avec des metteurs en scène d’exception (Claude Régy, Jérôme Deschamps ou Patrice Chéreau, entre autres) ont tracé un parcours artistique singulier. Elle a su fonder au cours de multiples créations son propre langage dramaturgique sous l’angle de la lumière : fondre sa sensibilité dans celle du collectif et rendre compte de ce que le récit parfois dissimule.    Dans cet essai issu d’une série d’entretiens avec Chantal Hurault, chargée de communication au théâtre du Vieux-Colombiers, la lumière de spectacle est dépeinte d’une manière à la fois sensorielle et émotive, au travers des souvenirs de Dominique Bruguière ; mais aussi d’un point de vue technique, avec le souci de clarté et l’exigence qui caractérisent son travail. Le lecteur prend alors conscience de la lente maturation nécessaire à la réalisation d’un éclairage appuyant à la fois la scénographie, le jeu des acteurs et les ambitions du metteur en scène. Ce travail de l’ombre se révèle captivant, riche et signifiant.