Oh boy.. Love me tender

Voici notre sélection très personnelle d’œuvres érotiques, amoureuses, séductrices, courtisanes, théâtrales, rêveuses, éphémères, ... so LoveLove !

Retrouvez-nous demain à la Rose des vents à partir de 15h30 pour la clôture du festival prise directe !

Dés 15h, LES DÉTERRITORIALISATIONS DU VECTEUR de Frédéric Ferrer, à 17h, CHACUN VAQUE A SON DESTIN, à 19h, HETERO de Denis Lachaud, et à 21h, Lectures des Love Letters.. on vous l'avez dit une soirée So lovelove !


18,30

Édité sous pseudonyme en 1969 en Angleterre, puis en 1970 en France, Mémoires d'un libraire pornographe s'est vite imposé, pour reprendre les mots d'Emmanuel Pierrat, préfacier de cette nouvelle édition, « comme l'une de ces savoureuses bizarreries littéraires, où se mêlent portraits de personnages fantasques, histoire de l'édition et de la censure, description des réseaux clandestins de diffusion des livres sulfureux... » Armand Coppens, qui réunit ici son expérience de libraire du « second rayon », passe de la bibliothèque à l'alcôve et du livre au lit avec l'aisance d'un érudit du Siècle des lumières.


La vie des nonnes, La vie des femmes mariées, La vie des courtisanes

Pierre ARETIN

Éditions Allia

9,20

Les trois textes “La vie des nonnes”,“La vie des femmes mariées” et “La vie des courtisanes” constituent la première partie des Ragionamenti. Dans un style riche en métaphores qui n'est pas sans rappeler celui de Rabelais, Pierre Arétin raconte les plaisirs de la chair auxquels s'adonnaient ses contemporaines. Se moquant allègrement des sacrements religieux (vœux monastiques, mariage et autres balivernes), il tourne en dérision la société de l'époque, préférant à l'hypocrisie des conventions religieuses la franchise des “putains”.


17,00

C. est l'initiale de chatte, le nom obscène et banal du sexe féminin.

Plus qu'un nom, C. est le langage qui lui est coextensif, un ordre qui l'emporte sur les rapports de production et de reproduction, transcende les croyances et les classes, rassemble et nivelle au plus profond.... Dans les archives de Pasolini, ce long poème - " extravagant et 'hors oeuvre' ", selon lui - figurait dans une chemise intitulée Poèmes marxistes.

Inédit en italien jusqu'en 2003, il est traduit pour la première fois en français.


10,00