Prise Directe 2 : la bibliographie !

Éditions Théâtrales

8,00

Lansman

9,00

trafic des femmes, témoignages vécus

L'Espace d'un Instant

10,00

Contractions : Emma entame une relation avec Darren, un de ses collègues. Mais le règlement intérieur de l'entreprise dans laquelle ils travaillent interdit les liens "amoureux" entre leurs employés.Mon enfant : Un homme et une femme se disputent la garde de leur enfant, jusqu'au jour où l'homme décide de le kidnapper.Né en 1980, Mike Bartlett est l'un des dramaturges britanniques les plus connus de sa génération. Diplômé d'Oxford et de le l'université de Leeds, il est aussi codirecteur de la Shapeshifter Theatre Company et auteur associé à la compagnie Paines Plough. Il a été primé au festival Old Vic New Voices, aux Tinniswood Awards, aux Imison Awards, ainsi qu'aux Olivier Awards. En 2011, sa pièce Love, love, love reçoit le prix de la meilleure pièce contemporaine aux Theatre Awards UK. Il travaille actuellement avec le Headlong Theatre, le Liverpool Everyman and Playhouse, le Hampstead Theatre et le Royal Court Theatre.


L'Espace d'un Instant

FUCK YOU, Eu.ro.Pa ! (1 comédienne) n'est ni une lettre d'adieu ni un message. C'est un essai, prévient la jeune fille. Dans cette Moldavie ex-soviétique, tout a la couleur et l'odeur de la merde, dit-elle. Et lorsque dans ce quotidien pénible se profile enfin la silhouette opulente d'une Europe de l'abondance, la désillusion arrive trop vite.
Mais si le personnage, ou l'auteure en fin de compte, ne sait pas trop bien le pourquoi exact de ce cri, la souffrance est là, le ton est sincère et vrai.

Sans sucre (10 comédiennes et 1 comédien) nous situe dans l'univers d'un tandem frère-soeur, « en colère » contre leur famille, contre l'école, contre la société moldave « en post-transition », contre le reste du monde. La même violence et le même humour noir, en écho aux grands bouleversements politiques de la dernière décennie.

Nicoleta Esinencu s'inscrit dans une nouvelle génération d'auteurs qui, après l'écroulement des régimes communistes, n'ont plus besoin de dissimuler ce qu'ils ont à dire. Ainsi libéré, le ton est souvent violent ou impudique, sans aucun compromis. Mais c'est dans la vulnérabilité insoupçonnée de ces personnages insolents que se cache peut-être l'essentiel.