- EAN13
- 9782913176911
- ISBN
- 978-2-913176-91-1
- Éditeur
- "Trans Photographic Press"
- Date de publication
- 07/10/2011
- Nombre de pages
- 104
- Dimensions
- 25 x 21,5 x 1,5 cm
- Poids
- 793 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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« À mes yeux, la capacité qu’a parfois la photographie (et la cinématographie)
à montrer l’invisible a toujours relevé du mystère.
Une nouvelle formule contradictoire, me diriez-vous,
et pourtant le grand secret des peintures, des photographies et des films,
de temps à autres et jamais vraiment à dessein,
est qu’ils révèlent ce qui ne peut être vu.
(Je suppose que c’est en définitive ce que nous entendons par transcendance.)
Dans le monde visible, il y a des interstices,
qui s’ouvrent et se referment
(ce qui résout presque l’énigme de l’oxymore « silence visuel »)
Et quand vous suivez ce signe murmuré
vous parvenez à entrevoir ce qu’il y a « derrière ». » Extrait du texte de Wim Wenders
Les États-Unis restent pour Ronan Guillou une interrogation permanente mêlée de visions contradictoires, un territoire où fiction et réalité
entretiennent une relation singulière.Ses paysages peuplés et pourtant silencieux appellent le cinéma. Ses portraits négociés attestent de la
mise en confiance qui a opéré, de la démarche du photographe questionnant ce qu’il voit, et cherchant à le retransmettre respectueusement.
Visions le long des espaces urbains de l’Amérique du quotidien, géante aux pieds d’argile, berceau d’illusions pour certains, terre d’accom-
plissement pour d’autres.
Entre intention documentaire et recherche formelle, entre témoignage et poésie, une odyssée en couleurs.
à montrer l’invisible a toujours relevé du mystère.
Une nouvelle formule contradictoire, me diriez-vous,
et pourtant le grand secret des peintures, des photographies et des films,
de temps à autres et jamais vraiment à dessein,
est qu’ils révèlent ce qui ne peut être vu.
(Je suppose que c’est en définitive ce que nous entendons par transcendance.)
Dans le monde visible, il y a des interstices,
qui s’ouvrent et se referment
(ce qui résout presque l’énigme de l’oxymore « silence visuel »)
Et quand vous suivez ce signe murmuré
vous parvenez à entrevoir ce qu’il y a « derrière ». » Extrait du texte de Wim Wenders
Les États-Unis restent pour Ronan Guillou une interrogation permanente mêlée de visions contradictoires, un territoire où fiction et réalité
entretiennent une relation singulière.Ses paysages peuplés et pourtant silencieux appellent le cinéma. Ses portraits négociés attestent de la
mise en confiance qui a opéré, de la démarche du photographe questionnant ce qu’il voit, et cherchant à le retransmettre respectueusement.
Visions le long des espaces urbains de l’Amérique du quotidien, géante aux pieds d’argile, berceau d’illusions pour certains, terre d’accom-
plissement pour d’autres.
Entre intention documentaire et recherche formelle, entre témoignage et poésie, une odyssée en couleurs.
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